• Chapitre 10: L'aboutissement de l'attente

    Je sorti en fin de soirée pour me rendre à la boulangerie, chercher un gâteau ou quelque chose pour Maëllys. L'air était frais , mais le soleil refletait dans mes yeux. Je rentre dans la boulangerie et j'y achète un gâteau à la fraise pour Maëllys en éspèrant qu'elle aimera. Je sort et je me balade un peu, seul, dans la galerie marchande. Je passe devant la vitrine du magasin où j'avais payé la veille les magnifiques vêtements pour elle, et je souris. Puis je m'arrête devant le fleuriste. Je rentre et je demande un bouquet avec les fameuses fleurs censées symboliser l'amour. Je paye le bouquet et je sors du fleuriste, le sourire aux lèvres. 

    Je me recoiffe et me remet un peu de parfum avant de reprendre la route qui mène à la cabane. J'avais fait un lèger effort vestimentaire, car je comptais la faire craquer aujourd'hui-même. J'arrive devant la cabane et je frappe à la porte.

    Oh mon dieu.

    Maëllys portait sa magnifique robe que je lui avait offert hier , et ses cheveux ondulés qui tombaient au niveau de sa taille au doux parfum de la mer me fit craquer. Je lui tendit le magnifique bouquet de roses rouges.

    `Maëllys, je.. Je t'aime.

    Elle prit le bouquet et le pose sur la table. Puis, en une fraction de secondes, sans même que je ne m'en rende compte, ses lèvres se posèrent sur les miennes et elle m'embrassa lentement , très lentement, d'une façon si magique que j'en eus des frissons. Puis elle s'arrêta quelques secondes. Je la pris donc doucement par la taille et la plaqua contre le mur tout en l'embrassant passionnément à mon tour, comme j'en avait rêvé même dans ces rêves que j'avais fait, et lorsque je la voyais. Elle me laissait faire le sourire aux lèvres, sans aucune peur qui ne se dessinait sur son visage. Elle semblait heureuse, vraiment heureuse pour une fois. Sans sourire forcé. Elle semblait épuisée alors je me suis décidé à la porter jusqu'à son lit, et je la posa en la recouvrant de sa couette. 

    Elle s'endormit très vite , et je la regardais depuis au moins des centaines de minutes. Elle dormait comme un bébé, avec un léger sourire sur ses lèvres, ce qui me donnait envie de déposer un léger baiser sur celles-ci. Mais très vite, je sentis la fatigue m'envahir, et , en craignant un peu qu'elle me repousse, je me mis à côté d'elle, la couette sur moi, et la serra contre moi. Je la regardait encore et je vis qu'à ce moment précis, un énorme sourire se dessina sur ses lèvres, et là, j'étais vraiment heureux. 
    Puis je me suis endormi.


  • Commentaires

    1
    Mercredi 25 Février 2015 à 22:31

    Chapitre parfait ya certain passage sa ressemble a nous bizarrement hihi c'est trop mignon :$ <3

    2
    Mercredi 25 Février 2015 à 22:33

    Merci, ah c'est bizarre ça hihi :$ <3

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